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Démarche

Au commencement, le lien de l’homme à l’objet, pourquoi se met-on à parler à une tasse : « Tu es là, je t’ai cherchée partout ! »

 

Alors, de Winnicott et ses objets transitionnels… je suis arrivée à l’origine, à ce qui est fondamental et commun chez l’homme.

 

Quand on recherche les liens communs à l’humanité, on tombe inévitablement sur les arts premiers. Des concepts universels, avec des codes esthétiques universels quels que soit les lieux, les cultures.

 

C’est ainsi que j’interroge inlassablement le sauvage, le sacré, le lien de l’homme à son environnement.

 

Le sacré, lien à l’environnement.

Pour moi, il fait partie « de base » de l’humain. Un enfant va très vite se créer des grigris. On naît animiste.

Il est intéressant dans sa dimension personnelle, avant le religieux, je dirais pré-chamanique. Parceque l’arrivée de la religion qu’elle soit chamanique ou autre, amène du dogme, du besoin de discriminer pour faire groupe.

(Marie Douglas, « Du pur et de l’impur »)

 

Les pétales des sonnailles et liens pour faire fuir les esprits.
Adjonction de sons (Mug sonore)…

Objets gardiens (Masques, Divinités, Ex-voto…)

 

Le sauvage, l’humain

Quelle est le reste de sauvage en nous, homme du 21ième siècle. Est-ce que les techniques sont sauvages, nous rendent sauvage… Quels sont les codes du sauvage.

Si je ramène une couleur contemporaine, est-ce que l’objet sera dénaturé, restera t’il malgré tout sauvage…

Recherche du poil, tantôt texture, tantôt élément qui bouge, que serait un poil céramique ?

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